13/06/1722 Puerto Del Principe
A peine le temps de fêter la victoire de l'énorme bataille de Port-de-Paix que les capitaines Ffançais recevaient déjà leur nouvel ordre de mission. Encore une cible espagnole, le port de Puerto Del Principe; port économique espagnol proche de la capitale anglaise des Caraïbes. Protégé par une presqu'île, coincé entre les anglais et les frères ce port bénéficie d'une protection naturelle contre d'éventuelles attaques. Mais l'amirauté ne se souciait pas un instant de ces paramètres et lançait une contre offensive en représaille à l'attaque sur Port-de-Paix. L'amirauté avait bien compris que les espagnols allaient être nos adversaires principaux et qu'il fallait les remettre en place.
Au soir du 13 de ce mois les voiles Françaises en ordre de bataille se dessinaient à l'horizon de Puerto. L'armada composée de 24 capitaines voguait pour assouvir la vengeance de la nation. Le contact fut établi rapidement par le groupe de chasseur en frégate rapide. Même effectif que le nôtre en face, la bataille s'annonçait difficile. Le meneur fait former une double ligne allongée, Nous n'engageons pas les hostilités tout de suite, une partie de cache cache s'ensuit dans les îlots. Les Espagnols nous foncent dessus mais bifurquent au dernier moment pour se mettre parallèle à notre flotte, un îlot nous sépare. Nous faisons une légère halte afin d'évaluer les navires et les stratégies envisageables. Toutes voiles dehors, nous repartons vers un autre îlot situé au Nord. Les Espagnols nous suivent, nous sommes de nouveau séparés par un bout de terre. Le groupe de chasse n'arrivant pas à percer les défenses adverses réintègre la ligne principale. La tête de ligne effectue une manœuvre à bâbord mais cette fois ci les espagnols ne nous imitent pas, ils longent l'îlot et nous chargent sur la tête de ligne. La formation est rompue mais nous arrivons tant bien que mal à garder un semblant de cohésion sur l'arrière de la ligne. Quelques navires viennent en renfort du haut de ligne pour bloquer la percée espagnole tandis que le reste ouvre le feu sur des cibles désignées par ordre de priorité. En quelques minutes plusieurs navires couleront, 4 de notre flotte ne pouvant se dégager du capharnaüm et 7 Espagnols bloqués par notre ligne et achevée par l'arrière garde.
Cette manche est en notre faveur, les Espagnols opèrent un repli stratégique voyant que la percée n'a pas fonctionné. Dans la bataille quelques uns de nos navires se sont éparpillés et un navire espagnol seulement à réussi à franchir notre ligne. Nous nous lançons à la poursuite de la flotte principale qui se réorganise très vite. Un de leurs navires semble mettre en panne, sûrement pour se rendre à cause d'avaries. Notre flotte ne voulant pas perdre de temps ne s'arrête pas et continue à remonter au vent pour rattraper le groupe adverse. Mon navire n'a subit aucun dommage durant la charge mais je suis à la traîne à l'arrière. Je fais souquer les écoutes pour regagner de la vitesse. En passant devant la poupe de l'espagnol isolé je lui demande de se rendre. Il n'obtempère pas et fait le sourd à mes fanions. Je crains un coup monté de l'espagnol pour prendre en enfilade notre flotte qui l'a dépassé. J'ordonne qu'on fasse feu d'un pont sur lui. Sa poupe vole en éclat, son gouvernail est disloqué et des hurlements de douleur se font entendre dans les entrailles du navire. Nul besoin d'une deuxième salve, le drapeau blanc est hissé, il se rend enfin.
La chasse continue et nous gagnons du terrain sur eux. Ils s'enfoncent dans une baie où le vent est faible et souffle dans une sale direction. Encore une ruse des Espagnols qui de lâchent pas prise. Dans cette baie nous allons pendant une bonne vingtaine de minutes échanger des bordées. Mais bientôt les ennemis se replacent dans le vent et essaye encore une fois de nous charger mais cette fois ils n'arrivent qu'à séparer notre plus gros navire du groupe. Il est lent et doit s'enfuir. La soif de gain et le souvenir du premier rang sombrant à Port-de-Paix animent les espagnols qui se ruent sur lui plutôt que de profiter de nos flancs. Ils nous permettent de nous replacer dans le vent et de reformer un groupe solide. Grossière erreur de leur part, ils sont fait comme des rats. Nous les rattrapons un par pou les couler et ils ne parviendront jamais à prendre le Galion Couronne Mastercraft qu'ils pourchassaient. Quatre de nos navires sombreront dans cette passe pour dix des leurs. La suite n'est qu'une partie de chasse où les plus rapides gagnent. L'ordre de couler les navires est donné, aucune reddition ne doit être acceptée. Les capitaines Ffançais règlent leurs comptes litigieux dans cette bataille et plusieurs navires sans défense sont envoyés par le fond. Le groupe de chasse rattrape plusieurs navires tandis que les navires lourds doivent se présenter devant les portes de la ville. Une fois l'armada regroupée nous débarquons pour terminer ce pourquoi nous sommes venus. La garnison dans la ville défendra chèrement sa peau mais nous vaincrons par l'épée. Les Espagnols avaient déclarés la guerre en s'attaquant à Port-de-Paix à la nation française, la réponse ne s'est pas faite attendre et ce n'est que le début des hostilités.
Victoire de la France.
Au soir du 13 de ce mois les voiles Françaises en ordre de bataille se dessinaient à l'horizon de Puerto. L'armada composée de 24 capitaines voguait pour assouvir la vengeance de la nation. Le contact fut établi rapidement par le groupe de chasseur en frégate rapide. Même effectif que le nôtre en face, la bataille s'annonçait difficile. Le meneur fait former une double ligne allongée, Nous n'engageons pas les hostilités tout de suite, une partie de cache cache s'ensuit dans les îlots. Les Espagnols nous foncent dessus mais bifurquent au dernier moment pour se mettre parallèle à notre flotte, un îlot nous sépare. Nous faisons une légère halte afin d'évaluer les navires et les stratégies envisageables. Toutes voiles dehors, nous repartons vers un autre îlot situé au Nord. Les Espagnols nous suivent, nous sommes de nouveau séparés par un bout de terre. Le groupe de chasse n'arrivant pas à percer les défenses adverses réintègre la ligne principale. La tête de ligne effectue une manœuvre à bâbord mais cette fois ci les espagnols ne nous imitent pas, ils longent l'îlot et nous chargent sur la tête de ligne. La formation est rompue mais nous arrivons tant bien que mal à garder un semblant de cohésion sur l'arrière de la ligne. Quelques navires viennent en renfort du haut de ligne pour bloquer la percée espagnole tandis que le reste ouvre le feu sur des cibles désignées par ordre de priorité. En quelques minutes plusieurs navires couleront, 4 de notre flotte ne pouvant se dégager du capharnaüm et 7 Espagnols bloqués par notre ligne et achevée par l'arrière garde.
Cette manche est en notre faveur, les Espagnols opèrent un repli stratégique voyant que la percée n'a pas fonctionné. Dans la bataille quelques uns de nos navires se sont éparpillés et un navire espagnol seulement à réussi à franchir notre ligne. Nous nous lançons à la poursuite de la flotte principale qui se réorganise très vite. Un de leurs navires semble mettre en panne, sûrement pour se rendre à cause d'avaries. Notre flotte ne voulant pas perdre de temps ne s'arrête pas et continue à remonter au vent pour rattraper le groupe adverse. Mon navire n'a subit aucun dommage durant la charge mais je suis à la traîne à l'arrière. Je fais souquer les écoutes pour regagner de la vitesse. En passant devant la poupe de l'espagnol isolé je lui demande de se rendre. Il n'obtempère pas et fait le sourd à mes fanions. Je crains un coup monté de l'espagnol pour prendre en enfilade notre flotte qui l'a dépassé. J'ordonne qu'on fasse feu d'un pont sur lui. Sa poupe vole en éclat, son gouvernail est disloqué et des hurlements de douleur se font entendre dans les entrailles du navire. Nul besoin d'une deuxième salve, le drapeau blanc est hissé, il se rend enfin.
La chasse continue et nous gagnons du terrain sur eux. Ils s'enfoncent dans une baie où le vent est faible et souffle dans une sale direction. Encore une ruse des Espagnols qui de lâchent pas prise. Dans cette baie nous allons pendant une bonne vingtaine de minutes échanger des bordées. Mais bientôt les ennemis se replacent dans le vent et essaye encore une fois de nous charger mais cette fois ils n'arrivent qu'à séparer notre plus gros navire du groupe. Il est lent et doit s'enfuir. La soif de gain et le souvenir du premier rang sombrant à Port-de-Paix animent les espagnols qui se ruent sur lui plutôt que de profiter de nos flancs. Ils nous permettent de nous replacer dans le vent et de reformer un groupe solide. Grossière erreur de leur part, ils sont fait comme des rats. Nous les rattrapons un par pou les couler et ils ne parviendront jamais à prendre le Galion Couronne Mastercraft qu'ils pourchassaient. Quatre de nos navires sombreront dans cette passe pour dix des leurs. La suite n'est qu'une partie de chasse où les plus rapides gagnent. L'ordre de couler les navires est donné, aucune reddition ne doit être acceptée. Les capitaines Ffançais règlent leurs comptes litigieux dans cette bataille et plusieurs navires sans défense sont envoyés par le fond. Le groupe de chasse rattrape plusieurs navires tandis que les navires lourds doivent se présenter devant les portes de la ville. Une fois l'armada regroupée nous débarquons pour terminer ce pourquoi nous sommes venus. La garnison dans la ville défendra chèrement sa peau mais nous vaincrons par l'épée. Les Espagnols avaient déclarés la guerre en s'attaquant à Port-de-Paix à la nation française, la réponse ne s'est pas faite attendre et ce n'est que le début des hostilités.
Victoire de la France.
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7,9 / 10
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Très bien
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